Un conte de fêtes au Meurice

Parce que chacun de nous a besoin de réconfort et d’émerveillement, le premier des palaces parisiens nous a livré pour les fêtes de fin d’années un conte en trois chapitres. Retour sur une épopée brillante à travers une forêt décorative digne des féeries de notre enfance…

Alors que la façade du Meurice éclairée de LED dynamiques et connectées s’est retrouvée parée d’une verdure abondante, la féerie s’est emparée du Palace de la rue de Rivoli.

Dans le hall, l’iconique sculpture entrelacée du Baiser de Zoulikha Bouabdellah laisse place à une majestueuse forêt de cerisiers du Japon illuminés.

Ici et là, l’argenterie Christofle flamboie et les cristaux reflètent la joie. Les bougies Noël d’Annick Goutal délivrent leurs délicieuses senteurs de pin de Sibérie mêlées à la fraîcheur de l’orange amère et de la mandarine dans leur écrin bleu et doré.

L’heure est à la plénitude, tous les sens sont en éveil pour des fêtes inoubliables. Du champagne, des chocolats et pleins d’autres surprises étaient au rendez-vous.

Avec ce thème fort de l’arbre, le Meurice fait référence aux racines qui ancrent ses 180 ans d’histoire dans celle de la France et de Paris, à la force et la majesté d’un hôtel de rois, aux nouvelles pousses comme autant d’idées avant-gardistes qui établissent une stature, à la luxuriance des esprits créatifs et fertiles qui ont fait, font et feront les grandes heures du palace…

Et puis, Le Meurice n’est-il pas l’hôtel du Jardin des Tuileries ?

Et pour que ces célébrations soient parfaites, Le Meurice s’est poétiquement inspiré des nuits étoilées en proposant des menus de fête aux Restaurants Le Dalí et le Meurice Alain Ducasse, ainsi qu’au Bar 228.

Pour accompagner le réveillon du Nouvel An, William Oliveri, Directeur du Bar 228 a imaginé l’Apothéose, une adaptation du fameux Bellini. Champagne, pêche, abricot….

Tea-time de Noël et brunchs familiaux ont aussi été de la partie, tous les souhaits ont été exaucés pour ces fêtes de fin d’années.

Crédit photos décoration de Noël : © Pierre Monetta / Meurice

Marie-Odile Radom

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