Dior VIII Montaigne, à l’heure de l’avenue Montaigne
« Tout se marie avec le gris, c’est donc la couleur recommandée pour les accessoires. » Christian Dior
Bâle, le 03 Avril 2014. Baselworld, le grand rendez-vous annuel de l’horlogerie et de la joaillerie, ferme ses portes après avoir accueilli pas moins de 150 000 participants. Huit jours durant, cet évènement incontournable du printemps a servi d’écrin aux plus grandes marques d’horlogerie et de joaillerie mondiales, leur permettant de dévoiler leurs dernières innovations et leurs plus belles créations, à l’instar de la Maison Dior.
La Maison de luxe a profité de l’événement pour mettre en lumière sa nouvelle création horlogère Dior VIII Montaigne, réinterprétation couture de la montre Dior VIII, qui pour l’occasion s’est parée d’un cadre en nacre cerclé d’or rose et de diamants sur un bracelet en alligator noir.
Ultra-féminine, cette déclinaison de la mythique Dior VIII, la première montre en céramique de la maison, rend non seulement hommage à l’adresse parisienne historique de la Maison de luxe mais effectue un véritable retour aux couleurs fondamentales de Christian Dior, s’habillant d’acier et de rose avec la plus grande élégance.
Élégante, raffinée et intemporelle, Dior VIII Montaigne affiche des lignes sensuelles et douces avec un boîtier affiné et sur le bracelet, des pyramides aux arêtes adoucies qui rappellent la veste emblématique du tailleur Bar, la silhouette si caractéristique du New Look imaginé par Christian Dior.
Son nom, comme pour mieux sublimer le chiffre fétiche du couturier, évoque la date de création de sa maison de couture, le 8 octobre 1946 au 30, avenue Montaigne dans le VIIIe arrondissement, berceau parisien de la Maison, mais aussi le nom de sa première collection baptisée « En Huit ».
Le gris, couleur emblématique du XVIIIe siècle français, si prisé par le couturier qui écrivit dans son Little Dictionary of Fashion en 1954 que c’est la plus élégante des couleurs neutres, se matérialise dans l’acier du boîtier.
Le rose, évoquant la teinte de la maison normande de son enfance à Granville s’invite sur la lunette, les aiguilles, le fond du boîtier et le cadran dans un camaïeu enchanteur. Enfin, le bleu pâle fait son apparition sur la Dior VIII Montaigne.
De déclinaison en déclinaison, ce nouveau garde-temps – disponible dès juillet 2014 – déploie une garde-robe composée de pièces intemporelles et couture, pensées pour toutes les heures.
Montre de jour, elle alterne l’éclat d’un bracelet en acier ou en or rose avec la lumière veloutée de l’alligator sur un cadran de nacre blanche délicatement ourlé ou non de diamants pour accompagner la femme active jusqu’au soir.
Le soir venu, la Dior VIII Montaigne se fait bijou devenant la montre de l’exceptionnel dans sa version Grand Bal, parée d’une masse oscillante placée à l’avant du cadran qui revêt pour l’occasion une jupe de nacre colorée aux allures de robe plissé soleil virevoltant au rythme de la danse.
À l’image des heures passées dans les ateliers pour confectionner les plus belles créations de haute-couture, chaque montre Dior VIII narre les codes de la maison de luxe. En renouant avec les codes historiques de la maison, la montre Dior VIII Montaigne est bien plus qu’un hommage, elle devient l’incarnation raffinée et précieuse de cette élégance parisienne devenue au fil du temps la définition de la femme Dior.
Crédit photo : with the courtesy of Dior
Marie-Odile Radom
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