Who killed Amazoula, la nouvelle campagne de Christian Louboutin
A chaque saison, il nous étonne avec des campagnes plus époustouflantes les unes que les autres. Jamais à court d’inspirations pour présenter ses collections d’escarpins et d’accessoires, Christian Louboutin dévoile ses créations ultra-désirables dans des mises en scène originales.
Et cette saison ne déroge pas à la règle. Pour sa collection printemps-été 2016, le célèbre chausseur aux semelles rouges – aidé de son amie et collaboratrice de longue date Olga de Grèce – a imaginé Who killed Amazoula ?, un court-métrage policier où les escarpins sont les pièces à conviction d’une enquête chic et glamour.
Dans cette énigme, chaque personnage porte le nom d’un essentiel de la collection : Wawy Dolly pour la femme de chambre, Baila Spike pour la détective, Lapérouse pour l’inspecteur, et enfin, les sandales Amazoulo qui donnent à la victime le nom d’Amazoula.
Ce court-métrage à l’ambiance très Cluedo met en scène la détective Baila Spike chargée d’élucider le mystérieux assassinat d’Amazoula, une femme élégante et délicate possédant une impressionnante collection d’accessoires et de souliers Christian Louboutin, dont le corps a été retrouvé par sa femme de chambre dans son appartement du premier arrondissement parisien.
C’est à l’aube que la femme de chambre Wawy Dolly découvre le corps inanimé d’Amazoula étendu sous une chaise, encore chaussée de ses sandales lacées, sa pochette Paloma à la main.
L’appartement est en désordre, le tapis souillé par les empreintes d’un intrus et les valises en cuir d’Amazoula ont été déballées, laissant une chemise de soie négligemment jetée sur le sol.
A leur arrivée, les policiers restent cois devant la scène. Le commissaire Lapérouse observant les premiers indices décide de faire appel à la détective Baila Spike à l’oeil vif et aguerri.
Arrivée rapidement dans l’appartement de la victime, la détective Baila, juchée sur ses escarpins léopard de douze centimètres Baila Spike Vernis Leopardino, inspecte la scène de crime tentant de trouver des indices et bien sûr l’arme du crime pour confondre l’assassin.
Puis la détective est conduite dans le salon pour interroger Wavy Dolly. Submergée par l’émotion, la femme de chambre chaussée de ses escarpins rose fluo révèle qu’Amazoula avait de nombreux admirateurs… autant d’hommes que de femmes, mais aucun dont la passion n’aurait pu prendre une tournure dangereuse. Le mystère reste donc entier.
Un sac Paloma au creux du coude, Baila poursuit son investigation quand elle remarque une paire de sandales Ha Why Luna compensées en python, finement ornées de fleurs découpées au laser, qu’elle examine de très.
Chaque accessoire, chaque paire de chaussures devient un indice de plus pour l’œil affûté de l’élégante Baila telle une élégante paire de sandales pavée de pierres connu sous le nom de Girlsbestfriend ou encore une paire d’escarpins d’inspiration vintage en cuir de veau vernis nommée a juste titre Last Emperess.
Clôturant l’enquête, Baila scelle le dernier élément de preuve, un vernis à ongles Rouge Louboutin surmonté d’un séduisant et néanmoins dangereux bouchon. Et si l’arme du crime était la pointe effilée de l’emblématique flacon d’un vernis à ongles ? À vous de mener l’enquête ! Mais attention, l’assassin court toujours !
Subtilement réalisé, un brin décalé, ce film aux codes rétro est d’une élégance folle. On suit avec plaisir les progrès de l’enquête, découvrant au fur et à mesure de l’enquête les créations de la collection Printemps-Été 2016 de Christian Louboutin. Escarpins et sandales à talons hauts, sacs, pochettes et vernis à ongles au flacon pointu tapissent la scène de crime.
Peut-être n’apprend-on pas qui a tué Amazoula à la fin, mais le célèbre chausseur nous propose de mener notre propre enquête dans une page dédiée à tous les accessoires figurant dans la vidéo. Cette ville est-elle toujours un lieu sûr pour les femmes élégantes ? Rien n’est moins sûr alors à vous de mener l’enquête !
Marie-Odile Radom
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